lundi 29 mars 2010

Week end bricolage

Ce week end, mon père est venu m'aider pour "terminer" ma salle de bain.

Alors immédiatement, je fais une appartée en plusieurs points :

- Faites un appel d'offre sur Internet pour avoir l'avis de plusieurs entreprises,
- En faisant un appel d'offre, les artisans feront des devis GRATUIT et donc, vous n'avez pas à payer !
- Si un artisan vous envoi la facture d'un devis gratuit (j'ai eu le cas par la société "DOMBRICO 60", je balance, je m'en fous...) sachez que vous n'avez pas à payer ! Vous n'avez rien signé, il n'a pas d'engagement, et pire ! Sur le devis, c'est bien écrit que le devis est gratuit !!!
- Si cet enculé d'artisan (retenez bien : DOM BRICO 60 !) vous appelle et vous fait des menaces de contentieux tout en étant très très aggressif, envoyez le chier bien comme il faut avec formule de politesse au choix : "Monsieur, sachez que nous n'avons plus rien à nous dire," ou le plus direct et tout aussi explicite : "va te faire fist fucker")
- quand vous faites faire un devis, sachez d'avance ce que vous voulez : Ne commencez pas à dire : "ça, euh... je sais pas, on va voir après... ça aussi... euh... ça... ben, euh..." Parce que là, le mec va vous bouffer tout cru
- Ne pas vous la racontez, ne commencez pas à vous dire que c'est vous qui ferez ça, ça, et ça aussi, et puis aussi ça tiens... juste pour faire baisser le prix, parce que quand vous vous retrouverez devant le chantier à moitié fini, et que le mec vous dira avec un grand sourire : "Voilà ! J'ai fini !" Et bien vous aurez un grand grand moment de solitude et une curieuse sensation dans le bas du dos...

Donc, ce week end, moi et mon père avions pour mission d'installer une porte coulissante en verre (ne faite jamais cette connerie !) et un simple mur en placoplâtre.

A la reception de la porte, j'ai déjà senti que j'allais en chier. en effet, je me suis vite rendu compte que sans le rail ni les accroches, elle était déjà très prêt du plafond. Problème rapidement confirmé, il me manquait en effet 7 cm...

Comme je suis un dingue, la solution à vite été trouvée : Nous avons commencé à casser le plafond pour encastrer le rail dedans (là, j'aurais déjà du fuir en courant loin de cette maison et de cette endroit infernal ! Mais nannnnnnn !!!)

Nous étions donc comme deux braves en train de péter le lambris à la disqueuse lorsque celle-ci s'est mis à faire des étincelles (et s'est cassé deux dents) et là, SURPRISE ! il y avait un ma-gni-fi-que "fer en I" contre le lambris et donc là où je devais mettre le p*tain de rail de cette p*tain de porte.

Après nous être solidement engueulé l'un l'autre, engueulé mon gamin qui passait là, ma femme qui courait derrière, le froid, la pluie, les colis postaux, les files d'attente chez le chiropracteur et autres... (oui, on est prêt à engueuler tout et n'importe quoi quand on est énervé) nous avons donc décidé de mettre la porte non plus à droite, mais à gauche, tout en s'ajoutant les tâches de devoir couper le rail, et de couper un bardeau de bois suffisant qui sera entre le rail et la poutre la plus proche (là, vraiment j'aurais du fuir !)

Il nous à fallu samedi et dimanche pour faire tout ça, ainsi que poser le mur de placoplâtre, et faire un petit peu d'électricité dans le grenier pour mettre des disjoncteurs et surtout des prises de terre pour la salle de bain car oui, avant cela, il n'y avait pas de prises terre sur les appareils électriques dans la salle de bain... Suicidaire jusqu'au bout, oui, mais sans le savoir...

Ce petit post juste pour remercier profondément mes parents et mon épouse, car déjà qu'il faut du courage pour me supporter (oui, je suis un gros chieur, je le sais et j'assume) mais en plus là, devant cette montagne d'emmerdes, je suis très très pénible !

lundi 22 mars 2010

Je vais être papa... encore

c'est la nouvelle de la semaine. Dans neuf mois, je vais avoir un enfant. Pour vous recentrer (parce qu'il le faut, à voir vos mines déconfites...) C'est mon épouse qui est enceinte (j'en plusieurs dans le fond qui pousse un ouf de soulagement, ils n'auront pas à relire tout le blog en se demandant pourquoi ils avaient cru comprendre que je suis un mec...)

Je n'aurais jamais le courage de vous raconter la conception (non pas par vantardise, mais par timidité, j'en ai peu, mais là, je vais m'efforcer d'en avoir.) mais je vais surtout m'étendre sur les sentiments que j'éprouve actuellement.

Actuellement, ce que je ressens, est un très très grand... rien. en fait, j'éprouve des sentiments sur le fait que je ne ressente rien. C'est très dur à comprendre (et je me galère à l'expliquer, en fait, je me demande même pourquoi je me suis lancé la dedans et le regrette amèrement, mais bon, j'ai commencé, alors assumons jusqu'au bout.)

Lorsque je l'ai appris, je n'ai su dire qu'un pitoyable "ok" ce qui à mis en colère mon épouse. Elle a surtout été très inquiète, elle qui était si joyeuse, à me voir comme si je n'avais pas entendu, et m'a répété l'information plusieurs fois dans la journée pour être sur que je sois bien au courant de la chose. 

En fait, je n'ai pas de peur (sinon, je me serais barré en courant) je n'ai pas de colère (en colère pour quoi d'abord ?) je n'éprouve pas non plus de joie et là, c'est inquiétant. A la télé, au cinéma, l'annonce d'une grossesse se fait avec les violons, la musique qui va avec et un effet sépia sur l'objectif. Là pour le coup, il pleuvait, j'étais garé en double file et j'écoutais un sketch de Bénureau sur "Rires et chansons" Donc, pour le côté effet d'annonce, c'est raté.

Et maintenant ? Ca fait une semaine que je sais. Alors qu'est ce que je ressens ? Et bien, je ne réalise toujours pas. Je ne suis toujours pas dans le "Ouhlàlàlà Youpi !!!! Je vais avoir un bébé !!!" Et encore moins dans le "Vite, faisons nos bagages et barrons nous en pleine nuit par la fenêtre !"

En fait, je me pose surtout la question "Mais comment va réagir notre premier enfant ?" Et à partir de là, c'est le bordel. Parce que j'aime mon fils plus que tout, et lui, il le sait ce "p'tit con." Mais comment va-t-il réagir face à la concurrence ? Et moi, Est-ce que je vais donner autant d'amour au 2e qu'au 1er ? Est-ce que je ne vais pas trop délaissé le 1er ou le 2e ?

Bref, c'est le bordel dans ma tête, mais c'est un bordel cool, sans nervosité ni stress apparent. Et c'est d'ailleurs ce qui énerve Madame, qui elle, est au 7e ciel.

Oh et puis, puisqu'il faut mettre une photo qui colle avec l'événement :


vendredi 19 mars 2010

L'entretien individuel d'une fouine...




Des entretiens, c'est sympa, c'est là ou on découvre un peu plus les gens. Des timides demandent des augmentations, des gueulards deviennent des agneaux, bref, en général, les masques tombent.

Et là, aujourd'hui, c'était au tour de ma fouine...

Je me suis bien préparé comme il faut, j'ai préparé mes charges, mes réponses toutes faites, les éventuels questions qu'il pourrait me poser, mes pièges (je vous avez déjà dis que je suis un salaud ?) J'étais au taquet !!!

et puis...

Rien...

Reprenons convenablement, et ensemble le rôle d'un chef de cuisine selon wikipédia :

Pour ceux qui n'ont pas envi de cliquer, je résume ici :



"Le chef cuisinier a généralement pour tâches :
  • L’élaboration des menus, éventuellement la création de nouveaux plats.
  • La gestion des budgets d’approvisionnement en produits frais en fonction des perspectives de demande et de perte.
  • L’approvisionnement en produits de qualité qu’il va souvent lui même sélectionner chez des fournisseurs choisis et acheter dès l’ouverture desmarchés avant d’entrer en cuisine.
  • La supervision des cuisines, donne les instructions comme responsable de la préparation des plats.
  • L’encadrement du personnel de la cuisine d’un restaurant ou d’un service de restauration.
  • La surveillance de la qualité du travail de son équipe et de la satisfaction de ses clients.
  • La formation et la transmission de savoir aux apprentis et au personnel.
  • La gestion de la motivation et de l’épanouissement professionnel de son personnel.
  • Le respect des règles d’hygiène et des normes de qualité et de sécurité de travail."



Et maintenant, le déroulement de cet entretien :
Moi : "Allez-y, je vous écoute, racontez moi comment vous avez vécu cette année écoulée."
Fouine : "Ben... Tout va bien, j'aime mon métier, tout se passe bien"
M : "C'est tout ?"
F : "Oui..."
M : "Bon, moi, je vous reproche d'être incapable de faire baisser l'indice matière première. Je vous reproche de vous échapper de vos responsabilités sous le prétexte : "c'est pas moi, c'est lui." Je vous reproche de ne pas gérer l'équipe en mon absence, Je vous reproche d'acheter des produits trop cher en mon absence. Que répondez-vous ?"
F : "C'est vrai que l'indice baisse pas... Et c'est vrai que je ne suis pas assez sur le terrain..."
M : "Donc, voilà, maintenant, c'est moi qui vais faire les menus, les commandes, gérer les fournisseurs."
F : "Ok... Et moi ?"
M : "Vous, vous gérerez l'hygiène, et contrôlerez que tout le monde prend bien la température des produits.
F : "Ok, A si, j'ai un truc qui me plait pas trop..."
M : "Je vous écoute, je suis là pour ça !" (A cet instant, je pensais qu'il allait au moins s'énerver, ou tout du moins me dire un truc pour que MOI je m'énerve !)
F : "Ben... De temps en temps, vous êtes trop directif, et ça nous fait peur... Et sur le service, quand vous faites le service au chaud, et bien vous ne dites pas merci quand on vous apporte un plat..."
M : "Vous voulez aussi qu'on se roule des pelles dès que vous faites votre boulot ?" (J'avoue que j'ai été méchant là...)
F : "Non... Ben non... Mais bon... Après, Kiki boude..."
M : "Si kiki boude, qu'il vienne me voir. Je lui en parlerais à son entretien..."


Voilà...

En gros...

De 10h à 11h30, je l'ai mis mal à l'aise, il ne m'a jamais regardé dans les yeux, et il à toujours été d'accord avec moi. Je lui aurais demandé de passer sous le bureau, il l'aurait fait et m'aurait peut être dit merci après...

J'aurais presque préféré qu'il soit grognon...

mercredi 10 mars 2010

mardi 9 mars 2010

Et la culture musicale bordel !!!

Je suis énervé par la musique, le divertissement, les émissions de télé, tout ce qui est censé nous divertir...

Non, mais sérieusement, qu'est ce qui reste actuellement d'intéressant à la télé ? Qu'est ce qui est encore intéressant en musique ? Je pose une question toute simple, à vous de trouver une réponse, parce que pour moi, j'ai beau chercher, je ne trouve pas.


- Quelle musique vous à particulièrement marquée l'année dernière et va rester dans la mémoire collective pendant plusieurs années ?

vous voulez des exemples ?
Highway to hell (AC/DC)
Still loving you (Scorpion)
La bohème (Aznavour)
Billy Jean (M. Jackson)

Oui, comme vous l'avez noté, 1) j'ai une culture musicale essentiellement rock, mais pas que... 2) Si vous ne connaissez pas ces morceaux, vous pouvez mourir instantanément de dessèchement anal, je ne ferais rien pour vous, car vous ne pouvez pas être humain.

Mais là ? Actuellement ? Que reste-t-il ?

Beyoncé, elle nous inonde de tellement de trucs qu'on oublie très vite le précédent pour trouver que le suivant est déjà meilleur que celui qui passe... (en gros, on s'en fout de ses zic', on veut juste la voir secouer son gros cul sur ses clips... car oui, Beyonce à un gros cul, il fallait le dire, c'est dit, passons.)
Rihanna, euh... la petite soeur de Beyonce, ou tout du moins, une version light, c'est à dire sans le gros cul, sinon, c'est kifkif
Les trucs de télérealité, idem que les précédents, on trouve que ceux de l'année à venir seront déjà meilleurs que ceux de cette année... Au point qu'on fini par s'en foutre.
Johnny Hallyday, voilà, la blague est faite...
Un artiste français en dehors de Johnny... Ben... euh...
Un groupe français, ils vivent un peu, et disparaissent très vite, en gros, ils font un album où ils se lachent, puis doivent sortir un 2e et là, il faut soit faire ce que la maison de disque veut (de la soupe) soit ils font un truc à l'arrache (de la soupe) et font un bide, puis disparaissent...

Bref, voilà... La musique actuelle, c'est de la merde

lundi 8 mars 2010

les entretiens d'évaluations 2010 (1ère partie)

Ouhhhhhh làlà, il faut à tout prix que je raconte l'entretien que je viens de faire ce matin.

Aujourd'hui, c'était au tour de Lunatic de passer à la moulinette, et je m'attendais à un peu de bagarre.

Il n'en fut rien, mais alors rien du tout.

D'abord, lorsque je lui dis que c'est elle qui commence les hostilités et qu'elle me raconte ses impressions sur l'année écoulée, elle s'effondre en larme. Et là, je me suis retrouvé aussi con qu'on peut l'être lorsqu'un truc te pète entre les mains sans raison apparente.

Je pense que Lunatic n'est pas sous pression... Nonnnnn, c'est une cocotte minute prête à exploser !

Et alors là, elle s'est vider d'un coup. Pas physiquement dans le bureau, mais en parole. Elle m'a déballé presque tout ce qu'elle savait.

Elle m'a raconté toute les histoires de fauches, comment ils se tiennent tous les uns les autres par les couilles et que tout le monde ferme sa gueule parce qu'en gros, si il y en a un qui tombe, il balancera tout les autres. Et ma vision du service en a pris un sacré coup derrière les oreilles !!

Moi qui croyait que la Fouine était le plus pervers et que c'est lui qui les tenait, en fait, pas du tout, ils se tiennent tous, ils en croquent tous, et ils sont tous pourris...

Ma façon de voir les choses à bien changé, et je vais devoir, semble-t-il, devoir claquer plus fort...








vendredi 5 mars 2010

Fouine est gros con

Oui ! Fouine est un gros con.

Faisons un peu de théorie (là, je vois déjà ceux qui ont/avaient leur place réservée dans le fond de la classe commencer à s'endormir, ils ont tort !) 
- Prenons un gars qui travaille depuis 30 ans dans la même boite. ce mec à gravi tout les échelons, d'éplucheur de patates à chef de cuisine. Admettons que ce mec à réussi à monter en poussant gentiment ses rivaux vers la sortie en leurs sabotant le boulot. Bref, il arrive au poste de chef de cuisine, il aide au moins une fois chaque employés pour bien qu'ils se sentent redevables (notamment en construisant la maison du second de cuisine...) et leur file de temps en temps un peu de bouffe pour bien les tenir par les couilles.

Admettons maintenant qu'il se mette bien potes avec les télé-vendeuses des fournisseurs pour de temps en temps avoir un peu de gratuités, gratuités qu'il se mettra bien évidemment dans le coffre de sa bagnole. Bref ! il se retrouve avec une situation plus que confortable puisque si l'indice matière première (le nerf de la guerre en restauration) ne baisse pas ou augmente, c'est le patron qui trinque, et jamais lui (preuve : 3 patrons en 4 ans...)

Et là, c'est le drame pour lui. Lui qui se sentait intouchable, il cesse d'être délégué syndical (poussé par une fille aux dents plus longue) et ne fait plus partie du Comité d'Entreprise (grand messe des planqués.)

Deuxième drame pour lui, il passe sous les ordres d'un grand patron qui est plus intouchable que lui et qui est réputé pour mettre dehors tout ceux qui l'emmerde. 

Troisième drame pour lui (mais il vient juste de s'en rendre compte) Son supérieur hiérarchique devient : MOI...

Au début, il me flatte, fait de la vantardise, me lèche les bottes, est "force de proposition" (j'adore cette expression) en pensant que je ne vais rien voir et le laisser faire ses conneries. Je met doucement en place un contrôle matière première, il m'applaudi. Je lui confie la création des menus, la gestion des commandes, je lui installe un bureau et un pc dans mon bureau (afin essentiellement que je puisse le surveiller aussi...) et j'observe.

Mes conclusions :
- Il raconte toute les conneries possible aux autres employés pour leurs faire peur et pour qu'ils soient à sa botte
- Il pense me faire croire qu'il fait des économies en me proposant un menu pas cher par semaine. Hors, en mon absence ou le soir, il fait des "menus de gala" (magret de canard, saumon fumé, jambon de bayonne en veux tu en voilà...) au self. Pourquoi me demandez-vous ? Pour moi, il le fait pour que les clients l'apprécie, et surtout pour en embarquer plus de la moitié pour chez lui en fin de service !
- lorsque je lui annonce que l'indice ne baisse pas (et je fais très bien le mec paniqué ou inquiet...) il est aussi très inquiet et met la pression sur les autres employés (sans changer de méthode, il continue de piquer de la bouffe et de gaver les autres dans mon dos...)
- il me pique de la bouffe (vous l'aviez déjà noté ?)
- en son absence, il prépare les menus à l'avance, tout en prenant soin de ne pas mettre assez de marchandise pour que les autres se galèrent, qu'ils soient dans la galère et que les clients gueulent... en gros, sans lui, c'est la merde, pensent les clients.

Alors en sachant cela, que feriez-vous à ma place à part lui retirer les commandes et les menus, et surtout bien communiquer auprès des autres employés pour le discréditer, lui retirer son influence et l'isoler.

Le plus important est de lui mettre la pression, lui faire peur sans cesse et le mettre en danger. Comme ça, il ralentira ses "petites affaires" et si il continue, il fera peut être un jour l'erreur fatale !

De l'art de couper des têtes et mettre des tartes dans la gueule...

Oui, ça fait longtemps que je n'ai pas écrit ici.

Je fais un bref topo :
Le suis retourné au boulot et j'ai (hélas / heureusement ; rayer la mention inutile) constaté que lorsque je ne suis pas là, c'est la merde dans mes deux services (restauration & hebergement pour ceux qui ne suivent pas.)

Bref : En premier lieu, je me suis attaqué à celui auquel je croyais que tout se passait au mieux : la restauration.
J'ai donc mis des tartes dans la gueule aux cuisiniers mais pas trop vu qu'il y avait déjà 5 arrêts maladie sur 9 employés (d'où l'art de mettre des tartes sans que les employés se mettent en arrêt) J'ai remis tout le petit monde au pas, remis les normes en route, stoppé toutes les merdes que la fouine avaient lancés (voir plus bas...)

Puis... La deuxième semaine de présence, ce fut le désastre...
Hebergement : 6 arrêts sur 6 employés
restauration : 6 arrêts sur 9 employés.

Et c'est là que Patron à eu l'idée géniale. Il y a une règle dans le code du travail qui stipule que lorsqu'un salarié est en arrêt souvent, cela peut prouver (entre autre...) qu'il à une santé plus fragile qu'il ne le croit, et donc, avant de revenir, l'employeur peut l'envoyer voir le médecin du travail pour un certificat de reprise. Et là, autant y aller franco, à savoir que pour tout les malades à répétition, nous les avons attendu le lundi, et renvoyé chez eux jusqu'à leurs visites médicale. C'est con, ça peut nous mettre dans la merde, mais en attendant, lorsque les employés ne sont pas là, ils doivent mettre des cp, des rtt, ou alors c'est des absences autorisées non payé (voyez-vous où je veux en venir ?)

Autant dire que pour madame fouine (qui travaille à l'hebergement) les 2 jours de rtt obligatoire lui ont fait mal. La preuve, le lendemain, elle a fait un "malaise" dans le bâtiment de ses "anciens responsables" (que ceux qui ont trouvé cela étrange lève la main !) Donc, je suis évidemment un salaud, je persécute mes employés, c'est mal, elle aurait pu mourir (moi aussi, de rire...) et le résultat c'est qu'elle est en arrêt pendant (je pense) des mois et des mois...

Je fais une pause sur ce post car je l'ai commencé il y a trop longtemps et j'aimerais vous faire profiter d'une autre aventure tout aussi marrante...